Bonjour à tous! Nous sommes des étudiants de l'Université de Gênes, en Italie, et nous vous souhaitons le bienvenue dans notre blog! Notre cours de français de cette année est centré sur les stéréotypes et les préjugés et donc nous voilà! Le nom du groupe vient d'un aphorisme du philosophe allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche que nous a frappé beaucoup parce que nous justement parlerons de préjugés et de stéréotypes à travers des posts écrits, qui renvoient aux "mot" de Nietzsche. Nous sommes prêts à partager avec vous notre parcours à travers ce sujet. N'hésitez pas à commenter nos posts!

dimanche 20 mars 2016


Imaginez que vous êtes un avocat et vous êtes appelé à plaider en faveur de votre client devant la cours.

Un cas de cambriolage

Monsieur le Juge, mesdames et messieurs de la Cours, bonjour.

Je représente les intérêts de mon client, Monsieur Mark Beauvoir, en ce qui concerne le cambriolage qui a eu lieu le lundi 13 janvier dernier dans la banque de cette ville. La police l’a arrêté car le soupçonne d’être l’un des responsables, mais il est évident que cela n’est pas possible.

Je m’explique : tout d’abord, l’innocence de mon client dérive aussi du fait qu’il n’a aucun, et je souligne aucun, problème économique. Donc il n’aurait pas eu de raisons valables pour commettre le crime. Je vous ai fourni un relevé de compte ainsi que vous puissiez vérifier en première personne que non seulement il n’a jamais oublié de délais, mais il a toujours tout payé avec beaucoup d’avance.

Deuxième raison : l’imputé n’a jamais été poursuivi pour n’importe quel chef d’accusation dans sa vie. Est-ce que vous, Monsieur le juge, croyez qu’une personne ayant son casier judiciaire vierge soit capable de commettre un crime si grave, compliqué et dangereux comme première fois ? Soyons raisonnables : c’est impossible, même si elle faisait partie d’un group. Vous savez mieux que moi que qui arrive à ce genre de crimes avait déjà vu un tribunal et entendu un discours comme le mien plusieurs fois.

Enfin, je voudrais focaliser votre attention sur un fait très important. Comme vous avez pu le lire dans les dossiers de cette affaire, l’arme que mon assisté aurait utilisée pendant le braquage n’a pas été retrouvée. Or, je trouve cet aspect assez grotesque : mon client se trouve là, dans une salle de tribunal en tant qu’accusé de cambriolage sans qu’il y ait l’épreuve-clé, la démonstration irréfutable, le fait objectif qui démontre qu’il est coupable. En plus, les témoins qu’on vient d’écouter ont tous affirmé que les criminels avaient les visages couverts, donc ils n’ont pas pu les reconnaître.

Voilà pourquoi Monsieur Mark Beauvoir ne doit pas être condamné, simplement parce qu’il ne se trouvait pas dans celle banque-là. Il était chez sa mère, mais je sais que, malheureusement, son témoignage ne peut pas être considéré.

J’espère quand-même que cette Cours peut agir de la façon la meilleure, en laissant libre mon client.

Merci de votre attention.                                                               

Matteo Gramaglia
Imaginez que vous êtes un avocat et vous êtes appelé à plaider en faveur de votre client devant la cours.

  • Sujet 1: Votre client est accusé d’avoir agressé une dame mais il assure qu’il est innocent. Vous savez qu’il est coupable mais vous devez le défendre afin qu’il soit innocenté.
Monsieur le President, Messieurs les Jurés
Aujourd'hui je vais plaider en faveur de mon client, Monsieur Léon. L’affaire de sa condamnation et de la grâce partielle dont elle vient de faire l’objet provoque beaucoup de commentaires, laudatifs ou non, et surtout beaucoup d’interrogations sur cette affaire. Je ne veux pas que la personne jugée passe trop au second plan et je voudrais donc faire un point sur cette affaire et sur la situation de cet homme, qui n’est pas simple.
Les faits remontent au jour 7 du mois dernier, quand Pierre Léon, dans un accès soudain de folie, aurait agressé une dame, telle Catherine Berthe, avec laquelle il avait eu une relation de type amoureux. D'abord, sa naïveté, son temporaire manque de conscience, ne constituent pas une menace pour l'humanité, ni rendent cet homme un danger public.
Il a expliqué avoir agi de façon instinctive et nous avons ici les documents qui témoignent son trouble psychique. En fait, il souffre d'une forme de trouble de la personnalité paranoïaque. Malgré cela, qui n'est pas suffisant à faire de lui un innocent, il y a des choses qui sont encore incertaines.
Premièrement, il n'y a pas des témoins. Donc, nous ne pouvons pas savoir s'il s'agit d'une véritable agréssion.
Deuxièmement, la dame ne présente aucun signe évident d'agréssion sur sa peau. Entre autres, elle connaissait les problèmes mentals concernant l'homme en question et elle aurait pu l'inciter ou l'agrésser verbalement.
Dans ce cas, Messieurs les jurés, être juste, c’est faire preuve de compréhension, c’est donner une chance à cet homme qui est notre semblable, qui dans un moment d’égarement, perd le contrôle de lui-même et aurait pu commettre ce petit délit.
Être juste, Messieurs les Jurés, c’est croire à son humanité, ce n’est pas le condamner d’emblée.
Pour tout cela, je requiers l'acquittement de mon client, Monsieur Léon.
Samuele Bruscella


Imaginez que vous êtes un avocat et vous êtes appelé à plaider en faveur de votre client devant la cours.


Votre client est accusé d’avoir agressé une dame mais il assure qu’il est innocent.
Vous savez qu’il est coupable mais vous devez le défendre afin qu’il soit innocenté.


-        Monsieur le juge, je plaide en faveur de mon client, Monsieur Rossi, qui est accusé d’avoir agressé sa voisine, Madame Dupont, qui se promenait avec son chien, pour lui voler son sac à main. 

J’ai épreuves suffisantes pour affirmer que l’agression de Monsieur Rossi a étée seulement une acte de légitime défense: mon témoin, Monsieur Bonnet, soutient d’avoir vu Madame Dupont inciter son chien à se lancer contre mon client, qui a  se défendre.
 
En outre je pense que l’accuse qu’on porte contre Monsieur Rossi se fonde aussi sur un préjugé contre les italiens qui sont considérés des voleurs.

Je voudrais enfin saisir l’attention de la Cours que le jeune Monsieur Rossi a récemment commencé à fréquenter la jeune fille de Madame Dupont, Mademoiselle Lucie Dupont, et donc il n’aurait pas eu aucune raison pour tenter à voler le sac à dos de la mère de sa petite amie.  
 
Viviana Giorgi 

 
                                                       Une accuse de cambriolage 



Aujourd'hui, il faut rappeler à la cours qu'on parle d'une accuse très "importante"; en effet on parle d'un cambriolage, mais je ne vois pas d'épreuves accablantes contre mon client.
Vous avez decrit l'homme de la banque comme une personne semblable à mon client.
En effet la taille du cambrioleur était grande, et la personne que je dois défendre est bien musclée, mais ça ne suffit pas. 
Le visage de l'homme n'a pas été vu et une autre chose qui serait importante pour condamner mon client manque: on n' a pas encore retrouvé l'arme utilisée pour le crime. Où est-elle?
Ce proces n'a pas raison d'exister parce qu' on suppose que mon client puisse être coupable, mais: 
on n'a pas vu le visage du cambrioleur, et il n'y a personne qui puisse dire d'avoir ecouté la voix du voleur.
Au cours de ce proces on a aussi dit que mon client a eu des problèmes financières: c'est vrai, mais c'est une chose qui appartient au passé, maintenant l'accusé travaille d'une façon stable et il n' a jamais eu de problèmes avec la justice. 
Si l'arme avait été retrouvée avec les empreintes digitales de mon client, alors la situation aurait étée bien différente. Actuellement je crois qu'il serait convenable de terminer ce procès fondé sur des soupçons, et si on veut continuer à accuser cette personne c'est parfaitement inutile, mon client est innocent. Vous n'avez rien pour le condamner, messieurs.
Monsieur le juge, j'ai terminé mon discours, j'espère que les accuses contre cette personne puissent finalement terminer.





Michele Moro.