Bonjour à tous! Nous sommes des étudiants de l'Université de Gênes, en Italie, et nous vous souhaitons le bienvenue dans notre blog! Notre cours de français de cette année est centré sur les stéréotypes et les préjugés et donc nous voilà! Le nom du groupe vient d'un aphorisme du philosophe allemand Friedrich Wilhelm Nietzsche que nous a frappé beaucoup parce que nous justement parlerons de préjugés et de stéréotypes à travers des posts écrits, qui renvoient aux "mot" de Nietzsche. Nous sommes prêts à partager avec vous notre parcours à travers ce sujet. N'hésitez pas à commenter nos posts!

dimanche 13 décembre 2015

Chaque jour Victoire, jeune femme italienne qui vit prés de Paris, va au bureau.
Elle est une psychologue qui travaille au centre de Paris. On pourrait dire que dans une ville comme ça, il est inutile de faire ce type de travail, parce qu' on ne peut pas être tristes ou fachés avec beaucoup de distractions, et possibilités de s'amuser. Elle aussi, ne le croyait pas. Elle avait commencé sa mission d' aider les autres, d'une façon "légère". Avant d'aller  travailler, elle mangeait un bon croissant, et se regardait souvent au miroir pour voir si son tailleur était parfait, puis tandis qu'elle conduisait sa voiture, une petite coupé cabriolet, elle regardait les vitrines des griffes. Elle pensait à la fin de sa journée quand elle aurait pu les voir.
Quand elle commence à travailler, elle comprend qu'il y aura beaucoup de choses à faire avant de terminer la journée de travail. Elle écoute beaucoup de personnes, qui disent de se sentir tristes, qui pensent qu'il n'y aura plus un futur. Elle, avec toute sa sensibilité et ses connaissances, cherche à les aider, mais qualquefois c'est vraiment difficile. Elle prend son déjeuner toujours dans son studio, avec sa secretaire, elles mangent quelque chose  et parlent de leur routine pour se dètendre seulement un moment. Victoire après quelques minutes, recommence à travailler et à la fin de le journée aura ecouté au moins une vingtaine de personnes. Elle se demande comme on peut être tristes ici, dans une ville si belle et magnifique, comme Paris. Elle le rappelle chaque fois qu'elle sort du bureau, pour aller au centre de la ville, à la station de police où travaille son mari. Tandis qu'il retourne à la maison, ils sortent du centre de Paris, et ils vont chez eux, où ils vivent.
Ils ont une petite maison, dans la banlieue de Paris. On pourrait penser à une belle banlieue, avec des parcs pour courir et faire de la gymnastique, mais ce n'est pas comme ça, c'est une banlieue où il faut prêter attention à ce qu'on dit ou fait, et où il ya beaucoup de policiers comme le mari de Victoire. Ils doivent contrôler les rues, rues sans vitrines, restaurants ou boutiques mais seulement avec beaucoup des maisons avec trop de personnes. Probablement, Victoire et son mari vont changer leur maison, ils  vont chercher un logement dans le centre de la ville, mais, ils chercheront aussi à rendre le centre de la ville et les banlieues plus semblables. Ils veulent le faire avec leurs efforts, ils voudraient rendre Paris belle partout, pas seulemant au centre, pour la rendre belle, comme chacun de nous pourrait et voudrait y penser.
Malheuresement, ça sera difficile, mais avec l'aide de plusieurs personnes on pourra comprendre qu'il n'existe plus maintenaint le cliché de ville parfaite pour Paris, mais on peut tenter de le rendre plus réaliste.

Michele Moro.

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